Pépère viou

La lettre éditoriale, ça sert juste au pauvre con qui la rédige à se donner l’illusion qu’il se trouvera quelqu’un d’assez désœuvré pour lire pareille connerie. Attention, pépère viou sans guillemet parce que je t’emmerde se destine à dire BEAUCOUP de gros mots avec une dilection (1) particulière pour les innombrables déclinaisons du con. Ce dernier, qui est hélas loin d’être le dernier, a en effet commencé à encombrer pesamment mon existence à la maternité et continuera probablement à m’encercler ( tombe droite - tombe gauche ) jusqu’à ma dernière demeure, comme aiment à métaphorer approximativement d’autres cons de sous présentateurs télé en général.

Si tu connais pas le sens du mot « dilection », ami, ce n’est pas grave : Lis autre chose. Crois-moi, tu seras mieux.